Modérateur : Les Modérateurs
soleilvert a écrit :LCP la seule chaine du PAF a avoir une émission sur la BD. Cherchez l'erreur. Y m'interesse ton doc faut que je trouve une éventuelle rediff.
Yakuza Eiga - Une histoire du cinéma Yakuza.
Arte :
“De l’âge d’or des années 60 à sa relative désaffection actuelle, l’histoire d’un cinéma subversif étroitement liée à celle de ses (anti-)héros : les yakuzas. Ce film documentaire est le premier à revenir sur l’histoire ‘non officielle’ d’un genre aussi controversé qu’adulé : le Yakuza Eiga !
Au Japon, Yakuza Eiga, c’est le cinéma Yakuza ! Un cinéma fait de postures rituelles, et de combats hyper violents dont les films dévoilent les arcanes du milieu mafieux de l’archipel, en même temps qu’ils inventent le cinéma moderne japonais ! Des centaines de films ont été produits au Japon sous ce label sulfureux, lesquels vont même supplanter les indétrônables films de Samouraï entre les années 60 et 80, en plein âge d’or du cinéma yakuza. Ce genre populaire ultra codifié avait même son studio, la Toei, devenu une sorte de ‘Yakuza Factory’, où les gangsters étaient parfois plus nombreux sur les plateaux que les membres de l’équipe.
Le Yakuza Eiga a d’ailleurs créé ses propres icônes. De Ken Takakura, le Paul Newman nippon, à Noboru Ando, égal du félin Delon et ex-chef de gang reconverti en acteur dandy. Parmi les réalisateurs qui ont signé les chef d’¿uvres du genre, on doit citer Kinji Fukasaku (Combat sans code d’honneur) l’enragé et indomptable maître de Quentin Tarantino, ou encore les figures plus contemporaines de Takeshi Kitano (Sonatine), et Miike Takashi (Dead or Alive), avec lequel le genre mute dans les années 90 en un mélange de film noir psychotique et de manga hyper violent.”
jeudi, 12 février 2009 à 22:10
Rediffusions :
14/02/2009 à 03:55
24/02/2009 à 01:35
Camui a écrit :BangoO, je t'aime.
...) le cinéaste russe filme une culture et des moeurs pétrifiées. Il montre précisément, comment une civilisation se gèle et s'enferme dans une monumentalité délétère.
Cette trilogie qui sans doute n'a pas été assez remarquée se conclut ainsi par un effet de miroir qui achève d'en affirmer l'importance.
Sokurov, un des plus grands cinéastes vivants, poursuit son oeuvre unique, superbement stylisée, et livre son meilleur film sans doute supérieur à son précedent chef-d'oeuvre "l'Arche russe".
(...) le cinéaste fait surgir de cette page d'histoire, avec une intuition visionnaire, des scènes captivantes, ironiques, émouvantes, et une magistrale évocation du Japon mystérieux.
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