C'est vrai qu'au delà des contraintes d'écriture, le principe renvoie à la vision individuelle et ne s'accorde à priori pas bien avec l'aspect collectif de la diffusion ciné en salles, ou bien genre déroulement souhaité par le plus grand nombre. Pas évident qu'on y gagne.
Le CD-ROM, c'est probablement un problème plus large. Le média y répondait à peu près bien techniquement, restait le prix pour l'utilisateur et l'ambiance pas très ciné. Les couts de production des programmes sur CD, en général, et à l'époque, étaient très excessifs : équipes lourdes, mal gérées, pas compétentes parce qu'inexpérimentées, souvent un gros gachis.
Bah, dans dix ans, va savoir...