Vous écoutez quoi, là maintenant, tout de suite ?

[helio]

Ne serait ce que pour les pochettes, ça carrière est plus post que pré-Sarbacane...

C’était un des CD test du moment.

[BaNDiNi]

[Redux]

[BaNDiNi]

[Redux]

et enfin la BO de



Je ne sais pas ce qui me prend d'écouter tout cela, comme si un fantôme m'avait envouté !

[helio]

Je viens de trouver And The Paris Heavyweights de Jimmy Gourley

http://fr.wikipedia.org/wiki/Jimmy_Gourley

[trez]

un truc génial,


tout est là

A retardement ; oui c'est vraiment bien, merci !!... et pas étonnant de voir qu'ils ont fait concert commun avec Son of dave.

[asticow]

Salut !

En ce moment j'écoute :
Nosfell - Pomaïe Klokochazia balek
Nosfell - Kälin Bla Lemsnit Dünfel Labyanit

http://www.nosfell.com/

[trez]

Très attendu depuis bien longtemps l'album de Portishead : "Third".
J'avais dû m'avouer déçu par ce qui avait succédé à "Dummy", leur coup de tonnerre electro-dépressif.
La vache "ils" ont remis ça ! Compositions crépusculaires, voix venant des gouffres intérieurs, vacillant sous les vents mauvais, electro ralentie et inquiète.
On retrouve le phrasé douloureux de Beth Gibbons sur fond de rafales digitales et d'accords secs à la guitare.
"The rip", "Deep water" ou "Machine gun" entre autres donnent le ton : l'hiver est permanent, le printemps avorté, l'été pourri et l'automne peu indien.
C'est pourtant une des plus belles années de Portishead, à écouter sans faux espoirs de déception...

[trez]

Français pas portés sur "la-chanson-française" plutôt à la mode ces temps-ci, Sporto Kantes.
Le duo a sorti "3 at last" ces jours derniers, après deux premiers albums souvent bien accueillis par la critique, moins par moi : du lounge trop convenu à mon goût.
Dans "3 at last" Sporto Kantes a mis nettement plus de nerf, de variété et pour tout dire d'inventivité, avec beaucoup de bonheur : télescopage d'influences sonores et musicales, picorant dans l'electro, le reggae, la dub, le français/l'anglais ou les influences est-européennes ( me semble-t-il ).
Le tout bouge et scintille, nous fait faire un voyage dans l'optimisme des horizons musicaux. C'est un petit printemps à lui tout seul ce disque, et c'est déjà énorme.

[Ghost]

Très attendu depuis bien longtemps l'album de Portishead : "Third".
J'avais dû m'avouer déçu par ce qui avait succédé à "Dummy", leur coup de tonnerre electro-dépressif.
La vache "ils" ont remis ça ! Compositions crépusculaires, voix venant des gouffres intérieurs, vacillant sous les vents mauvais, electro ralentie et inquiète.
On retrouve le phrasé douloureux de Beth Gibbons sur fond de rafales digitales et d'accords secs à la guitare.
"The rip", "Deep water" ou "Machine gun" entre autres donnent le ton : l'hiver est permanent, le printemps avorté, l'été pourri et l'automne peu indien.
C'est pourtant une des plus belles années de Portishead, à écouter sans faux espoirs de déception...

Excellent album effectivement, qui se bonifie au fil des écoutes.

[Redux]

Comme dans ces cas là !



et surtout ...


Elle fait un pas, elle s'avance
Elle me dit au revoir
Et je pourrais encore je pense
Lui dire à plus tard
Si elle se rendait à l'évidence
Que tout nous sépare
Qu'il ne faut pas me faire confiance
Que je n'ai rien à voir
Avec ses belles espérances
Ni maintenant, ni plus tard
Mais je pourrais encore je pense
Lui payer un coup à boire
Tout recommence
Mais rien ne se répare
Quand les coeurs sont en faïence
C'es foutu, c'est trop tard
Mais sur le pont de Recouvrance
Elle est si belle à voir
Que je pourrais encore je pense
M'arrêter un jour de boire
Pour l'embrasser sans offenses
Sans migraines, sans cafards
Mais rien ne se passe comme je le pense
Quand l'envie me prend de boire
Tout recommence
Mais rien ne se répare
Quand les coeurs sont en faïence
C'es foutu, c'est trop tard
Pardonne moi toutes mes offenses
Pardonne moi si je m'égare
Je ne sais plus dans quel sens
Se trouvait le Jean-Bart
Mais rend toi à l'évidence
Que tout nous sépare
Qu'il ne faut pas me faire confiance
Que je n'ai rien à voir
Merde c'est pas de chance
On n'a plus rien à boire
Moi je pensais qu'à Recouvrance
Ca fermait un peu plus tard
Moi je pensais qu'à Recouvrance
On trouvait toujours à boire
A boire
Tout recommence
Mais rien ne se répare
Quand les coeurs sont en faïence
C'est foutu, c'est trop tard

[Redux]

Mais aussi,

J'ai déserté les champs de bataille
Les nuits que je connaissais trop bien
Je ne fais plus dans la canaille
Je suis plutôt devenu du matin
Et pendant que je baille
Je repense à tous mes Verdun
A mes Chemins des Dames
A mes Trafalgar de rien
J'ai perdu le goût des représailles
Que mes victimes en soient témoins
J'ai dû sans le savoir combler des failles
Des précipices des crevasses des ravins
J'ai même perdu le goût des funérailles
Et des larmes au petit matin
Quand il fait froid et que tout déraille
J'aimerais tant tenir ta main
Je n'ai plus le cerveau en pagaille
Mon cœur est devenu lui aussi plus serein
Je ne supporte plus la mitraille
Même quand je l'entends de loin
Faudrait pas que quelqu'un braille
Sinon je ne réponds plus de rien
J'ai de la place pour des médailles
Tu sais je ne veux que ton bien
J'ai déserté les champs de bataille

je rajouterai :

[Redux]

Mais aussi :



Investigation of a citizen above suspicion !!!

C'est vous dire que j'ai la rage en moi :(

'tain sale journée ...

Y'a pas que le cadeau "mal choisi", y'a surtout que la maman n'appelle même pas !

Et ça je pourrai difficilement pardonner !!!

[trez]

Les germano-j'saisplusquoi de KMFDM, groupe "alternatif" par les prises de position très à Gauche et exprimées de façon agressive voire radicale, ont réactivé la machine à concasser : "Brimborium" sorti en février déjà, mais plaisir à propulser à l'assaut de la bonne humeur.
C'est une version remixée de l'album précédent "Tohuvabohu", lequel semble avoir la préférence de beaucoup de fans du groupe de rock industriel : pourtant j'avais trouvé la première mouture un peu lourde à digérer, pas très mobile.

Sur "Brimborium" les Panzer se mettent à danser en rugissant, digitalisés à mort, ce qui vous donne une sorte de mélange de Kraftwerk et de Rammstein. Malgré ses hurlements occasionnels la voix de Lucia adoucit un peu l'ambiance très guerrière. Ca secoue bien, ça cogne, ça laboure, pas cool Raoul mais très vivifiant.