Récapitulatif:
3Dlab DAC Master (24 bits / 192 KHz)
1250 €
(DAC present dans le 3Dlab CD Master)
"précis dynamique, détaillé et pas agressif "
"J'ai été d'emblée frappé par la dynamique, la propreté et l'étendue du grave ainsi que par la finesse du son sur l'ensemble du spectre audible, son qui par ailleurs n'est jamais aggressif."
"j'ajouterai que les timbres sont bien respectés."
"dynamisme, transparence et aucune agressivité.
J'ai pu le comparer à un Bel Canto Dac 2 et si le Dac 2 l'emporte sur la fluidité, sur le reste, le 3D lab se montrait souvent supérieur au Bel Canto - une certaine fluidité en moins, snif. Les meilleurs résultats obtenus l'ont été avec l'AES-Ebu où l'écart avec le Bel Canto se réduisait même assez nettement pour ce qui est de la fluidité"
"le son est très naturel. C'est un lecteur qui semble transparent et qui doit reproduire ce qu'il y a sur le CD. L'image sonore est bien en 3D. Il n'y a pas d'agressivité malgré que ce lecteur donne un son très clair, très net avec beaucoup de détails. Il restitue également très bien l'ambiance des lieux de concert, par exemple. Il y a une bonne aération et on a l'impression que le son évolue librement." (en parlant du lecteur CD Master)
Adavance Acoustics MDA503 (24 bits / 384 kHz)
Prévu pour septembre
CEC DA53 (24 bits / 192 KHz)
1380 €
(DAC présent sur la CEC TL-51XZ)
North Star Design Modele 192 (24 bits / 192 KHz)
Au alentour de 1200 €
"manque un peu de matière. Converto très neutre et très droit"
"Ce converto est extrèmement neutre, on a pas de sentiment de projection sur un registre spécifique.
Sur mes CD, notamment en langue anglaise, je perçois avec beaucoups plus d'aisance qu'auparavant, les paroles des chansons (c'est un signe tout bête mais à l'instant je viens de comprendre certaines paroles qu'avant je n'entendais que confusément). En effet chaque instrument est parfaitement détouré et restitué avec des timbres ma foi forts naturels.
Sur des enregistrements d'Otis Taylor (Truth is not Fiction) ou de Sanson (Commme ils l'imaginent), les morceaux réputés pour leur grave baveux et ronflants, sont "remis d'équerre" avec un registre grave épuré et redevenu lisible au profit du message musical.
Sur des vacheries genre Best Of d'Offspring ou de Red Hot Chili Pepper, le DAC n'épargne rien à la prise de son "baignoirisé" de ces deux albums tout en y redonnant la tessiture et la dynamique qui les rendent de nouveau écoutables.
Sur de l'orchestrale, les même qualités s'expriment, mais le reste de mon système rend encore inaccessible le plaisir d'écoute sur les grosses formations....
De manière générale, je recdécouvre mes diques avec ce DAC (ce qu est un bon signe). je perçois notablement mieux des inflexions de voix, des changements dans la manière dont les sicos jouent tout au long du morceau. Un autre exemple tout bête au début du CD de Molly Johnson ou sur un moceau des Blind Boys of Alabama, les deux chanteurs émettent une syllabe dont la tonalité était auparavant très "décollé" du reste de leur interprétation. Désormais, on perçoit bien le changement de tonalité, mais cela reste très intégré, pas surcaccentué.
Les deux points noirs (ou plutôt un point noir et un point gris) sont à ce jour les suivants. La scène sonore ne marche pas très bien. Le son est ouvert, ce n'est pas colllé aux enceintes, mais , ça manque lourdement de largeur et de profondeur. A sa décharge, mes filtres sont un peu provisoires et surtout asymétrqiues droites gauches, donc peut être que ça changeraune fois tout "callé".
Le point gris vient du drive. j'avais résussi à me convaincre que le drive, si il avait une influence indéniable sur le résultat, ne me limiterait pas trop dans la restitution. Un essai récent avec un Drive "top niveau" m'a prouvé le contraire. Donc si accoler un DAC sur un DVD n'est pas une aberration, cela reste une solution boiteuse dans le sens où l'on exploite incomplètement l'appareil... "