Messagepar Le-Saint » 03 Fév 2014, 07:07
Je suis en train de lire un court roman dont voici un extrait (et pour une fois, c'est pas du smartmovies):
Une minute après le prince se précipita sur Culculine, mais son vit resta à la porte chatouillant le clitoris. Il tenait dans sa bouche un des tétons de la jeune femme. Alexine les caressait tous les deux.
— Mets-le-moi, criait Culculine, je n’en peux plus.
Mais le vit était toujours au dehors. Elle déchargea deux fois et semblait désespérée lorsque le vit brusquement la pénétra jusqu’à la matrice, alors folle d’excitation et de volupté elle mordit Mony à l’oreille si fort que le morceau lui resta dans la bouche. Elle l’avala en criant de toutes ses forces et remuant le cul magistralement. Cette blessure, dont le sang coulait à flots, sembla exciter Mony car il se mit à remuer plus fort et ne quitta le con de Culculine qu’après y avoir déchargé trois fois, tandis qu’elle-même déchargeait dix fois.
Quand il déconna, tous deux s’aperçurent avec étonnement qu’Alexine avait disparu. Elle revint bientôt avec des produits pharmaceutiques destinés à panser Mony et un énorme fouet de cocher de fiacre.
— Je l’ai acheté cinquante francs, s’écria-t-elle, au cocher de l’urbaine 3269, et il va nous servir à faire rebander le Roumain. Laisse-le se panser l’oreille, ma Culculine, et faisons 69 pour nous exciter.
Pendant qu’il étanchait son sang, Mony assista à ce spectacle émoustillant : tête-bêche, Culculine et Alexine se glottinaient avec entrain. Le gros cul d’Alexine, blanc et potelé, se dandinait sur le visage de Culculine ; les langues longues comme des vits d’enfants, marchaient ferme, la bave et le foutre se mêlaient, les poils mouillés se collaient et des soupirs à fendre l’âme, s’ils n’avaient été des soupirs de volupté, s’élevaient du lit qui craquait et geignait sous l’agréable poids des jolies filles.
— Viens m’enculer ! cria Alexine.
Mais Mony perdait tant de sang qu’il n’avait plus envie de bander. Alexine se leva et saisissant le fouet du cocher de fiacre 3269, un superbe perpignan tout neuf, le brandit et cingla les fesses et le dos de Mony, qui sous cette nouvelle douleur oublia son oreille saignante et se mit à hurler. Mais Alexine, nue et semblable à une bacchante en délire, tapait toujours.
— Viens me fesser aussi ! cria-t-elle à Culculine dont les yeux flamboyaient et qui vint fesser à tour de bras le gros cul agité d’Alexine. Culculine fut bientôt aussi excitée.
— Fesse-moi, Mony ! supplia-t-elle, et celui-ci qui s’habituait à la correction, bien que son corps fût saignant, se mit à fesser les belles fesses brunes qui s’ouvraient et se fermaient en cadence. Quand il se mit à bander, le sang coulait, non seulement de l’oreille, mais aussi de chaque marque laissée par le fouet cruel.
Alexine se retourna alors et présenta ses belles fesses rougies à l’énorme vit qui pénétra dans la rosette, tandis que l’empalée criait en agitant le cul et les tétons. Mais Culculine les sépara en riant. Les deux femmes reprirent leur gamahuchage, tandis que Mony, tout saignant et relogé jusqu’à la garde dans le cul d’Alexine, s’agitait avec une vigueur qui faisait terriblement jouir sa partenaire. Ses couilles se balançaient comme les cloches de Notre-Dame et venaient heurter le nez de Culculine. A un moment, le cul d’Alexine se serra avec une grande force à la base du gland de Mony qui ne put plus remuer. C’est ainsi qu’il déchargea à longs jets tétés par l’anus avide d’Alexine Mangetout.
Sans faire marcher Gougoule, essayez de deviner qui a pu écrire ça ? Moi j'en suis resté comme deux ronds de flan, en constatant que le porno gonzo avait été inventé bien avant ma naissance.