Suite à diverses mésaventures, je me suis retrouvé avec un ampli classe D dans mon salon.
Cet ampli dertiné à l'origine ) être monophonique à base de LM 386 et délivrer 300W se voit aujourd'hui contenir 2 canaux de 400W sous 4 ohms chacun
Au menu :
Alimentation : type double mono
Par canal :
transfo 500VA torique nuvotem
double pont de redressement diodes onsemi ultra rapides
4 capas de 10mF (2 par rail)
un module UCD400
Boitier DIY bien sûr en aluminium...
Bref, cet ampli n'était pas à l'origine destiné du tout à être utilisé en stéréo sur mes colonnes, mais à bouger le caisson, et la centrale.
Bref, curieux de nature, et poussé par certains, et bien j'ai fait le test
Et je l'ai comparé aux canaux avant de mon ampli HC...
En résumé, papy bornert devrait d'abord zapper, ça va pas lui plaire
La classe D, enfin ces modules tout du moins, ça marche très très bien...
Jamais j'avais vu mes enceintes sous ce jour là.
Classe D aigus aggressifs ou simplifiés ?
kisékadiça ?
Que neni, aigus plus détaillés, une scène sonore beaucoup plus ouverte, une guitare complètement différente, moins étriquée
Des graves surlecultants, détaillés, secs et dynamiques (pas le truc qui traine 3 heures avant de revenir)
Des enceintes qui vivent, vivent...
Le gag : au bout de 8 h de fonctionnement, les radiateurs étaient très très tièdes (dans les 30-35°)
Bref, une amplification très musclée, très dynamique, avec une tenue des graves et une bande passante , qui consomme rien (plus de 90% de rendement) et qui est loin de couter cher (vous dirai pas le prix, vous allez dire que c'est de la merde )
Conclusion : vive la classe D
PS : ceci a été fait sur mes modestes enceintes, réputées très très gourmandes et avec un grave de merde qui traine (mode Roselyne on Ah bonnnnnnnnnnnnnnnnn mode Roselyne off) et un aigu qui vrille (je sais pas qui l'a trouvée celle là)
PS2 : j'ai eu l'avis d'une autre personne, qui n'aimait pas mon système en full Rotel et a trouvé le changement important et bénéfique