[FILM][DVD] The Island - Michael Bay - 2005 USA

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Pas mal, ça change des météorites tueuses
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Bof... S'il fait chaud et qu'on veut profiter d'une salle climatisée...
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13%
La vie est trop courte ! A fuir !
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Blondin
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[FILM][DVD] The Island - Michael Bay - 2005 USA

Messagepar Blondin » 25 Août 2005, 01:40

Salut,

Après de trop courtes vacances, envie de me faire une toile. Ce film vaut-il le coup ? 8)

Critique lue dans MadMovies.com

Pour reprendre l’expression jadis utilisée pour désigner Erich Von Stroheim, Michael Bay c’est un peu « le cinéaste que vous aimerez détester » tant l’œuvre du bonhomme peut être fascinante même pour ceux qui la honnissent. Chantre de la tôle froissée, apôtre de la destruction de masse, messie de l’americana et King incontesté du bô coucher de soleil sur fond de filtre jaune, le grand (par la taille) Michael représente quoi qu’on en pense une forme d’aberration au sein du contexte de production dans lequel il travaille en ce qu’il se caractérise par une capacité inouïe à verser dans l’excès sur tout et n’importe quoi alors même qu’il opère dans une catégorie de films censé être formatés. Bad Boys II était la parfaite illustration de cet axiome, Bay y pétant complètement les plombs et décidant d’exploser toutes les limites de son cinéma, du bon goût et de la résistance physique et mentale des spectateurs. Pareil monument étant insurpassable, on (enfin moi) se demandait bien ce que le plus californien des réalisateurs allait pouvoir nous concocter ensuite.

Réponse avec The Island qui s’il ne tranche pas radicalement avec le gros de son œuvre n’en représente pas moins une forme de changement dans la continuité pour Bay, qui s’attache ici avant tout à raconter une histoire et non à tout faire péter le plus vite possible. Travaillant sur la base d’un script solide dont le principal défaut est de trop trahir par moments la provenance télévisuelle de ses auteurs, Bay prend ainsi une bonne moitié de film à poser intrigue, contexte et personnages en laissant son style frénétique aux vestiaires. S’il est particulièrement regrettable que le ressort dramatique principal de cette première partie ait été bousillé par une campagne marketing proprement aberrante (quoique compréhensible, le film étant un cauchemar pour marketeux avec son mélange action/thriller SF/drame humain), Bay s’en sort avec les honneurs en réussissant à créer un pseudo-futur immédiatement crédible et brillamment conceptualisé et en parvenant à faire véritablement exister ses personnages pour la première fois de sa carrière, principalement grâce à une direction d’acteurs impeccable.

Evidemment, chassez le naturel, il revient au galop, et le gros boum boum reprend ses droits dans une deuxième moitié qui voit s’enchaîner les scènes d’actions « larger than life » typiquement Bay-iennes. A ce titre la poursuite centrale qui voit s’enchaîner un concours de lancer d’essieux sur SUV et une balade en moto volante au milieu du trafic est un morceau de choix, d’autant que l’intégration des effets virtuels aux cascades réelles y atteint un niveau de qualité rare. Bay réussit cependant à ne pas perdre de vue le véritable but du film et continue à développer en filigrane la série de questionnements moraux et éthiques passionnants qui parsèment le film, donnant au final à l’ensemble un bel équilibre malgré le côté schizophrène de sa structure narrative. Mieux même, il parvient même à créer une véritable tension via quelques séquences horrifiques proprement glaçantes et qu’on n’attendait pas forcément dans pareil film, ainsi qu’une vraie émotion dans la très belle série de plans finaux.

Techniquement bien emballé et plus intelligent qu’on aurait pu le croire, The Island s’affirme donc comme un blockbuster plus que plaisant, ce qui en ce bien morne été 2005 est en soi une réussite. Et si on n’ira pas parler de maturité, il est aussi la preuve que Bay peut quand il le veut faire preuve d’une certaine versatilité dans le choix et le traitement de son sujet. Reste à espérer pour tous les pervers fans du bonhomme que le bide pas franchement mérité aux States ne le découragera pas de continuer dans cette voie. Qui sait, un jour il pourrait devenir grand le sale gamin…

Note : 4/6

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ashram
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Messagepar ashram » 25 Août 2005, 10:41

bof... pas excelllent mais jolie actrice et cascade vraiment bien foutue... pour le reste... c'est du Bay quoi :roll:

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plisken
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Messagepar plisken » 25 Août 2005, 11:26

Un blockbuster faisant un gros flop aux usa ne doit probablement pas être foncièrement mauvais :lol:
Plisken / un TT c'est Très Tentant et ça m'a TenTé ! Image

magneto
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Messagepar magneto » 25 Août 2005, 13:11

plisken a écrit :Un blockbuster faisant un gros flop aux usa ne doit probablement pas être foncièrement mauvais :lol:


furtif? :lol:

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beb
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Messagepar beb » 26 Août 2005, 22:49

ashram a écrit :bof...
pas excelllent mais jolie actrice et cascade vraiment bien foutue...
pour le reste... c'est du Bay quoi :roll:


Scarlet Johansson est ... MMMMMMMMMMMMMMMMMMM
sinon, j'avais pas vu la Bande annonce qui fout tout en l'air, donc pas mal...
On aurait pu éviter la surenchère du milieu (démonstration des capacités d'un caisson, en tous cas)...
Ici on aime les marsupiaux subversifs

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ashram
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Messagepar ashram » 26 Août 2005, 23:40

beb a écrit :
ashram a écrit :bof...
pas excelllent mais jolie actrice et cascade vraiment bien foutue...
pour le reste... c'est du Bay quoi :roll:


Scarlet Johansson est ... MMMMMMMMMMMMMMMMMMM
sinon, j'avais pas vu la Bande annonce qui fout tout en l'air, donc pas mal...
On aurait pu éviter la surenchère du milieu (démonstration des capacités d'un caisson, en tous cas)...



elle à une bouche à p*** naturelle, c'est exceptionnel !!!

nan, je rigole mais c'est vrai que c'est une vraie princesse celle là :P

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helel ben sahar
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Messagepar helel ben sahar » 21 Déc 2005, 11:48

Bay est un auteur. Certes, il n’est pas le réalisateur type que l’on associerait avec le terme « auteur », mais il possède tout de même certaines caractéristiques. Bay est un réalisateur qui ne souci réellement ni de son scénario, ni de ses personnages. Il se concentre, et se consacre uniquement sur l’esthétique, la réalisation et le montage. Seules ces considérations rentrent en compte, il ne conçoit un film que sur ces critères, et c’est bien dans ce sens qu’il faut aborder ses métrages. Evidemment, ses choix sont discutables, et surtout, il ne faut pas s’empresser d’émettre une farouche volonté de voir en ces tics une sophistication narrative, puisque concrètement, celle-ci n’existe pas.
Bay est un auteur de non-cinéma. Ses films sont des objets en marge de toute conception cinéphile. Il ne possède aucune logique narrative basée sur la réalisation, ses scénarios ne sont que des prétextes à un déluge d’action totalement décomplexé et son montage est souvent réalisé en dépit du bon sens. Alors pourquoi tous ces éléments assemblés sont-ils capables de produire de la qualité alors que chez d’autres, ils s’accompagnent vers le désastre ? Comment Bay parvient-il à produire du bon avec une quantité impressionnante de défauts majeurs ? Je serai bien incapable de répondre pertinemment à cette question, finalement, la réponse se trouve dans ses films, ou tout du moins deux ou trois dans sa filmographies, deux ou trois films où son style représente un tout cohérent.


The Island est très certainement le film dont le scénario est le plus approfondi. En effet, pour une fois, l’histoire revêt un réel contexte, et s’achemine vers la volonté de produire plus ou moins un message. Bien qu’il aménage toujours la construction de son film pour laisser libre court à ses fantasmes de démolisseur, il s’accorde volontiers des plages contemplatives, de dialogues afin d’épaissir quelque peu les enjeux de ces scènes d’actions. Cependant, l’histoire ne s’embarrasse pas non plus d’une réelle création, et préfère emprunter divers éléments piochés dans quelques films de sf, et d’y accoler des considérations plus contemporaines, en l’occurrence, le clonage.
Les premières images s’empressent d’inclure la donnée principale à attendre de la vision que l’on donne aux clones. Bay utilise tous les archétypes visuels, les langages esthétiques de la pub comme référent à un monde factice, aseptisé, tel qu’il doit être vu par les clones. Il sublime volontairement, voire de façon grotesque, Scarlett Johanson, et met en situation plus ou moins similaire Mc Greggor. Les quelques placements de produits tiennent davantage du merchansdising doucereux, que d’une quelconque volonté d’appuyer le propos consumériste d’une société. Au contraire, en uniformisant ainsi la vision et l’esthétique, il présente un environnement conformiste et rassurant. Chose que les despotes en charge de la place, tienne à sauvegarder afin de mieux contrôler leurs sujets. On peut effectivement y voir une dénonciation naïve d’une société fascisante, mais le cinéma de Bay ne repose, pour beaucoup, que sur une unique vision naïve. Cette naïveté se retrouve d’ailleurs dans différentes situations dans le film et semble ainsi en accord avec la mentalité des ses deux personnages principaux.
La mise en place de l’histoire, du contexte, des personnages et des enjeux sont effectués dans un laps de temps étonnement long, quand on jette un œil au reste de sa filmographie. Bay avait une certaine tendance à en mettre plein la vue rapidement, histoire d’assommer le spectateur et le faire rapidement entrer dans l’histoire. Au contraire, The Island se permet une entrée en situation plus posée, afin d’être plus libre par la suite et ainsi ne pas s’encombrer d’éléments perturbateurs à l’action.

La pièce maîtresse dans les films de Bay, reste toutefois les scènes d’actions, l’existence de son cinéma ne résulte que pour ces situations. Le monsieur avait placé la barre très haute avec Bad Boys 2, comment peut-il surenchérir après un tel déluge, une telle folie ? Il n’y parvient pas réellement, mais reste fidèle à lui-même et sa réputation. L’action se lance dans le registre des films de fugitifs. La fuite en avant des deux héros du centre est impressionnante, elle parvient par un montage et des cadrages hasardeux à rendre palpables l’hésitation et la folie qui règne dans la scène. Ses mouvements de caméra maladroits, exagérés, grossiers, son montage cafouilleux confirment l’absence de cohérence dans sa réalisation, mais parvient toutefois au résultat escompté.
Ensuite Bay est encore plus fidèle à lui-même. Il est capable de réaliser des scènes de poursuite automobiles dantesques. Sa réalisation vire toujours au grand n’importe quoi, une sorte de plonger en apnée au cœur de l’action afin de provoquer des réactions viscérales et douloureuses. Il se sert de différents effets pour nous éprouver la scène, que l’on ressente physiquement l’adrénaline qui gonfle les personnages et la situation. Sans demi mesure, on en ressort lessivé et heureux d’avoir subi pareille déflagration visuelle et sonore. Finalement, on ne voit pas un film de Bay, on le ressent. Il apporte une grâce à l’épilepsie visuelle qui se déroule sous nos yeux, un plaisir éphémère qui ne durera que le temps de l’action, et que l’on aura pour mémoire que la persistance rétinienne qui encombre notre regard. Le souvenir d’un film de Bay ne situe finalement pas dans notre mémoire, puisqu’il n’y a rien à retenir, mais dans la douleur ressenti par notre corps après sa vision.


Bay est un peu à l’image des clones dans son film. Un esprit de quinze ans dans un corps d’adulte. Sa conception des films est atteinte du syndrome de Peter pan. C’est réellement flagrant dans The Island, tout le film est baigné par une vision naïve des choses. La romance est réalisée avec l’idéalisation enfantine d’un adolescent, conformément au ton de nos deux héros. La libération des clones, la découverte du monde, la prise de conscience de l’agent, tout est réalisé par le prisme de la naïveté. Autant d’innocence dans un film d’action burné aurait pu virer au drame, mais ici, dans ce contexte, bien au contraire le tout sonne cohérent. Bay avait échoué dans sa capacité à allier le buddy movie à l’action débridé dans BB 2 – les scènes de comédie plombaient totalement le film – ici, la naïveté s’inscrit naturellement dans le récit puisqu’elle est finalement une dominante éprouvée par les personnages. Evidemment, cette notion est laissée de côté pour l’action qui ne s’encombre d’aucune considération sinon la destruction la plus massive (et Bay s’en donne à cœur joie dans l’exercice).


The Island plaira vraisemblablement à toutes les personnes acquis à sa cause, parviendra peut-être même à enrôler de nouveaux venus grâce à un scénario plus développé, mais continuera toujours d’exaspérer les opposants à cause de sa façon illisible de réaliser ses scène d’actions, à cause de la futilité de son exercice, de la durée éphémère du film à perdurer dans les mémoires, toutes ses raisons qui donnent autant à détester qu’à aduler les films du monsieur…

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Ghost
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Messagepar Ghost » 07 Fév 2006, 20:24

Vite vu (quoique film beaucoup trop long à mon goût), vite oublié.

L'idée de départ semblait géniale mais helel, je ne vois pas du tout où le scénario est développé :???:

Ce film est une publicité monstrueuse pour Chrysler et ses versions break et berline de la C300, j'ai vu deux ou 3 Crossfire aussi, de Cadillac (mon dieu qu'elle est horrible :o ), ... C'est bizarre, nous sommes soit-disant en 2019 et les vieux tacos de 2005 roulent toujours :lol:

A part ça, que reste-t-il ? De trop nombreuses scènes d'actions qui ne servent pas du tout le film (tiens, ça m'a amusé de voir un camion tringueballer des essieux de vieux trains alors qu'il existe en 2019 des trains semi-volant :lol:

Le concept philosophique n'est ici qu'effleuré (clônes pensant, aimant, ... ) mais bon, c'est du Michael Bay aussi :roll:
"Si vous n'êtes pas vigilants, les médias arriveront à vous faire détester les gens opprimés et aimer ceux qui les oppriment." – Malcolm X

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Aldo
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Messagepar Aldo » 08 Fév 2006, 03:00

moi je l'ai trouvé sympas ;)
remarquez je ne suis pas du genre a compté les balles qui reste dans les révolvers, ou de voir un gars qui porte une ceinture et qui ne l'a plus 5 seconde aprés, ou encore de reperé les plaques d'immatriculations pour voir si ce sont toujours les bonnes tout le long du film.
nous avons vue bien pire comme le transporteur II par exemple que je qualifirais de foutage de gueule.
dans the island le concept est sympas, c'est une histoire qui peut etre credible dans un futur.
je trouve l"histoire bien ficelé et original, la premiere demie heure peut etre un peut longue mais ensuite celà passe bien.
A voir quand meme on passe de bon moment
Aldo
PS: film a ne pas voir, le transporteur II :lol:

M-patrick
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Messagepar M-patrick » 09 Mars 2006, 07:23

Hello à tous ,

Je viens de visionner le film " The Island " en zone 2 ...

...un super bug : un canal surround gauche muet

Après des années de DVD , comment cela peut-il encore arriver , surtout sur un gros titre que celui-ci ? ....une honte !!!!!

Est-ce que la Belgique a le même problème ?

A+ Patrick
Ma config :
TV Plasma LG 60PK250, lecteur Bluray Sony BD350, lecteur DVD Pioneer 545 MZ et Macro-off, lecteur CD Nad 520, ampli AV Marantz SR5300, enceintes JPW et caisson Yamaha.
Mon site perso:
http://www.cinefeel.eu

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Messagepar eric-v » 09 Mars 2006, 09:49

M-patrick a écrit :Hello à tous ,

Je viens de visionner le film " The Island " en zone 2 ...

...un super bug : un canal surround gauche muet

Après des années de DVD , comment cela peut-il encore arriver , surtout sur un gros titre que celui-ci ? ....une honte !!!!!

Est-ce que la Belgique a le même problème ?

A+ Patrick


Je viens de vérifier les différents test sur le net et personne ne signale "ton" bug, ni en France, ni en Belgique. Un problème de compatibiité avec ton lecteur peut-être?

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tazz
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Messagepar tazz » 09 Mars 2006, 09:51

M-patrick a écrit :Je viens de visionner le film " The Island " en zone 2 ...

...un super bug : un canal surround gauche muet

Mais on rappelera quand même que le principal bug sur ce dvd est le film lui même 8)
"Donc je ferme après avis des juristes". Managing Director EDV en la_dilettante since summer 2008.

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Messagepar eric-v » 09 Mars 2006, 09:58

tazz a écrit :
M-patrick a écrit :Je viens de visionner le film " The Island " en zone 2 ...

...un super bug : un canal surround gauche muet

Mais on rappelera quand même que le principal bug sur ce dvd est le film lui même 8)


Pose tes neurones et détends toi un peu, tu verras, ça ne fait pas de mal. 8)

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Camui
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Messagepar Camui » 09 Mars 2006, 10:03

tazz a écrit :Mais on rappelera quand même que le principal bug sur ce dvd est le film lui même 8)

Effectivement : un beau gachis.
내가 제일 잘 나가

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eric-v
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Messagepar eric-v » 09 Mars 2006, 10:12

Edit pour le bug: a priori sur rama, quelques uns ont le même soucis qui ne se trouve que sur la VF. Comme le disent si bien nos intello-cabo ci-dessus, le film n'est déjà pas un chef d'oeuvre, alors, si en plus vous le regardez en VF :roll: :lol: plus d'excuses 8)


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