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Camui
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Messagepar Camui » 30 Avr 2006, 22:40

Faites chier, vais être obligé de faire 450 kilomètres en stop.

Du coup, de rage, j'ai vu Otage avec Bruce Willis.
C'est fou tout ce qui peut arriver à ces gens d'américanie.
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BangoO
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Messagepar BangoO » 30 Avr 2006, 22:50

Camui a écrit :Du coup, de rage, j'ai vu Otage avec Bruce Willis.

:zzz:
Camui a écrit :BangoO, je t'aime.

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Camui
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Messagepar Camui » 30 Avr 2006, 23:09

C'est fou tout ce qui peut arriver à ces gens d'américanie.
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BaNDiNi
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Messagepar BaNDiNi » 30 Avr 2006, 23:41

Gambit a écrit :Las Vegas Parano, Terry Gilliam, 1998

Long clip ennuyeux et répétitif sur le parcours de deux camés. Entre vomissements et effets faciles, on notera l'absence totale de matière et de finalité de l'ensemble. Poubelle.


Dans mon enthousiasme Silent Hillien, j'ai loupé ça... La peine de merde te guette !
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tazz
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Messagepar tazz » 01 Mai 2006, 01:25

Allez.... Gambit goût de chiottes et c'est amplement mérité :roll:
"Donc je ferme après avis des juristes". Managing Director EDV en la_dilettante since summer 2008.

soleilvert
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Messagepar soleilvert » 01 Mai 2006, 01:46

BaNDiNi a écrit :Et je prends même le temps d'une bafouille... que je vais nettoyer au mieux de spoilers...

Donc, Silent Hill :

Gans installe une ambiance particulière, bizarre, "à la Silent Hill" (pour le peu que je conaisse du jeu premier du nom), et plonge son film dans un poisseux dédale habité par un bestiaire dégueulasse. Scènes stressantes à la photographie sublime (bordel, c'est Tchernobyl en enfer !), bande son tantôt inondé par le subtil tantôt dégeulant d'une brutalité baroque qui scotche au fauteuil, final hallucinant et halluciné tout simplement jouissif pour qui aime l'horreur graphique et torturée… (entre autres références Cliver Barker, Jinji Ito...)

Rajoutons à tout cela quelques détails craspec ([spoiler]l'épluchage devant l'église ! Le sort de la flic que j'ai personnellement trouvé très dérangeant ou encore Colin dans les toilettes !!![/spoiler]) et on en arrive rapidement à un constat assez affligeant : l'aversion de la critique Franchouille pour ce talentueux réalisateur est totalement exagéré. Silent Hill mérite bien plus que ce que j'en ai lu. Genre un bon 9 sur 10.



M'en fous j'irai pas quand même.

Les cinémas c'est rempli de tétards de forumeurs.

Je le verrai dans 6 mois tranquillou, en pouvant me gratter les couilles et appuyer sur pause pour vidanger ou bouffer un morceau... na.


J'ai entendu une autre critique disant que les interventions du mari de l'heroine cassent le rythme et l'ambiance. Vrai, faux?
La liberté dépression vaincra.

soleilvert
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Messagepar soleilvert » 01 Mai 2006, 02:02

H2G2 le guide du voyageur galactique


Image



Vu en grand, en VO (evitant le cote betifiant de la VF pour ce genre de film particulièrement).

Je me suis regalé.


Peut-être parce que je ne m'attendais à rien de précis. Je ne savais rien du livre et presque rien sur le film.

Alors oui ça lorgne clairement du coté des monty python, quoi de plus normal compte tenu de l'humour absurde très british du film et c'est pourtant du made in USA...

Visuellement ça se lache tout en étant chiadé. Une histoire en forme de mille-feuilles qui multiplie les réferences: De 2001 à star wars en passant bien sur par brazil, entre autres.

Un film sans etiquette préalable. Pas franchement drole, pas totalement absurde, mais qui part dans un délire qui englobe finalement pas mal de choses.

Une alice au pays des merveilles en peignoir qui tel un jeune padawan découvre l'univers et ses mystères.
La liberté dépression vaincra.

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BaNDiNi
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Messagepar BaNDiNi » 01 Mai 2006, 04:37

soleilvert a écrit :
BaNDiNi a écrit :Et je prends même le temps d'une bafouille... que je vais nettoyer au mieux de spoilers...

Donc, Silent Hill :

Gans installe une ambiance particulière, bizarre, "à la Silent Hill" (pour le peu que je conaisse du jeu premier du nom), et plonge son film dans un poisseux dédale habité par un bestiaire dégueulasse. Scènes stressantes à la photographie sublime (bordel, c'est Tchernobyl en enfer !), bande son tantôt inondé par le subtil tantôt dégeulant d'une brutalité baroque qui scotche au fauteuil, final hallucinant et halluciné tout simplement jouissif pour qui aime l'horreur graphique et torturée… (entre autres références Cliver Barker, Jinji Ito...)

Rajoutons à tout cela quelques détails craspec ([spoiler]l'épluchage devant l'église ! Le sort de la flic que j'ai personnellement trouvé très dérangeant ou encore Colin dans les toilettes !!![/spoiler]) et on en arrive rapidement à un constat assez affligeant : l'aversion de la critique Franchouille pour ce talentueux réalisateur est totalement exagéré. Silent Hill mérite bien plus que ce que j'en ai lu. Genre un bon 9 sur 10.



M'en fous j'irai pas quand même.

Les cinémas c'est rempli de tétards de forumeurs.

Je le verrai dans 6 mois tranquillou, en pouvant me gratter les couilles et appuyer sur pause pour vidanger ou bouffer un morceau... na.


J'ai entendu une autre critique disant que les interventions du mari de l'heroine cassent le rythme et l'ambiance. Vrai, faux?


C'est vrai. Personnage en grande partie inutile... Gans voulait un film 100% féminin mais le studio ricain a quand même demandé de faire une concession avec un personnage masculin dans le scénario. Sean Bean n'a son utilité que dans la toute dernière scène...
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Messagepar BaNDiNi » 01 Mai 2006, 16:11

BaNDiNi a écrit :Et je prends même le temps d'une bafouille... que je vais nettoyer au mieux de spoilers...

Donc, Silent Hill :

Gans installe une ambiance particulière, bizarre, "à la Silent Hill" (pour le peu que je conaisse du jeu premier du nom), et plonge son film dans un poisseux dédale habité par un bestiaire dégueulasse. Scènes stressantes à la photographie sublime (bordel, c'est Tchernobyl en enfer !), bande son tantôt inondé par le subtil tantôt dégeulant d'une brutalité baroque qui scotche au fauteuil, final hallucinant et halluciné tout simplement jouissif pour qui aime l'horreur graphique et torturée… (entre autres références Cliver Barker, Jinji Ito...)

Rajoutons à tout cela quelques détails craspec ([spoiler]l'épluchage devant l'église ! Le sort de la flic que j'ai personnellement trouvé très dérangeant ou encore Colin dans les toilettes !!![/spoiler]) et on en arrive rapidement à un constat assez affligeant : l'aversion de la critique Franchouille pour ce talentueux réalisateur est totalement exagéré. Silent Hill mérite bien plus que ce que j'en ai lu. Genre un bon 9 sur 10.


Gans évoque sa situation en France dans un interview dans le figaro

"Après le succès colossal du Pacte des loups, j'ai essayé de réaliser trois films en France. Mon propos étant de faire un cinéma d'aventure, international et populaire, en langue française. Le Pacte des loups avait ainsi obtenu 100 millions de dollars de recettes à l'étranger. Je pensais que ce serait facile de continuer dans cette voie. Surtout que 2001 avait été une année exceptionnelle : Amélie Poulain, Le Placard, La Vérité si je mens II. Nous étions les maîtres du monde, le cinéma américain avait reculé de 30%. En définitive, ni Bob Morane, ni Rahan, ni le remake du film d'Henri Decoin, Non-Coupable, avec Albert Dupontel, n'ont plu aux chaînes de télé. Sans leur apport, on ne peut pas faire du cinéma. J'étais condamné ici. Mon agent à Hollywood ne comprenait même pas pourquoi je continuais à m'entêter ! Ces films sont prêts à être tournés, mais la France n'en veut pas. On laisse la place au cinéma américain, c'est bien dommage. Je suis donc reparti d'où je venais puisque j'avais réalisé Crying Freeman au Canada. Le Canada est une zone franche, entre l'Europe et Hollywood, où l'on peut rester européen et profiter des fonds hollywoodiens. J'ai dû m'expatrier pour retravailler. C'est le problème de la France d'aujourd'hui, pays rigide où le blocage est général. Alors, je repars cet été en Asie, pour les repérages de l'adaptation d'une légende qui se situe au Japon, pendant la guerre d'unification. Tous les grands studios américains veulent le produire ! Mais je conserve ma garde prétorienne, mon producteur Samuel Hadida, mon monteur et mon chef opérateur, qui sont tous des Français."
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Messagepar soleilvert » 01 Mai 2006, 16:50

Une autre analyse du cinéma français actuel qui peut compléter celle de Gans:


Le masochiste cinéma français


par Jacques Mandelbaum et Jean-François Rauger


LE MONDE | 28.04.06


Je vous trouve très beau. Cette affirmation engageante est le titre d'un film français récent ayant rencontré un succès inattendu en salles (aujourd'hui plus de trois millions de spectateurs) qui en fait, en termes de fréquentation, le deuxième plus grand sommet national de l'année, derrière l'inexpugnable pic des Bronzés 3 (plus de dix millions d'entrées).

Or cette assertion doit, de toute évidence, être considérée comme une antiphrase. C'est en effet la phrase que prononcent immanquablement les différentes candidates roumaines au mariage que rencontre Aymé Pigrenet, un agriculteur veuf joué par Michel Blanc qui cherche une nouvelle femme. Il s'agit donc de provoquer un rire fondé sur le principe que cet éloge est de toute évidence le contraire de la vérité apparente, que le personnage incarné par Michel Blanc est tout sauf beau et qu'il ne s'agit que d'une formule répétée sans conscience par des candidates au mariage suffisamment désespérées pour se jeter dans ses bras.

Le succès du film d'Isabelle Mergault, pour ne rien dire de celui des Bronzés qui relève de la même macération masochiste, semble à cet égard confirmer une subtile involution sinon du cinéma français dans son ensemble, du moins des recettes qui contribuent, en vertu du seul et troublant réconfort de l'autoflagellation, à l'audience de certains films.

Camping de Fabien Onteniente, sorti mercredi 26 avril en salle, en apporte une preuve toute fraîche qui, sous le prétexte d'exhumer son humanité, met le campeur made in France, forcément chômeur, cocu et alcoolique, six pieds sous terre. L'humanité dont est censée témoigner la fin du film (les campeurs ont un coeur) est foulée aux pieds par celui qui aura le dernier mot : le chirurgien égaré chez les "beaufs", deus ex machina, susceptible de faire l'aumône d'un emploi possible au chômeur malchanceux incarné par Frank Dubosc.

Certes, la laideur a toujours été un des ressorts de l'humour cinématographique dans la patrie d'un Fernandel ou d'un Bourvil. Certes, la médiocrité a toujours et sous toutes les latitudes constitué un filon d'exception pour l'exercice d'une satire bien sentie. Mais les figures exemplaires d'un certain cinéma français contemporain apparaissent aujourd'hui comme l'expression douloureuse d'un constat d'une cruauté inédite : nous sommes laids, nous sommes médiocres, nous sommes décevants, et, pire encore, nous aimons ça.

Ces personnages n'appartiennent plus en effet à la catégorie du brave type d'antan, qui, in extremis, se révélait, malgré tout, détenteur de valeurs positives, dépositaire d'une grandeur d'âme, capable à l'occasion d'héroïsme et de sacrifice à un idéal. Cette figure est issue d'une mythologie qui voulait faire croire que même si le Français n'avait pas apparemment été un héros de la grande Histoire, il en avait réellement été un, fût-ce à l'insu de tous et en dépit de son apparence de "Père tranquille", pour reprendre le titre d'un film de René Clément.

La débandade historique et mythologique dont témoignent en revanche ces nouveaux héros apparaît de façon embryonnaire dans la caricature du Français moyen, tel qu'incarné par les comédiens du café-théâtre qui triompheront au cinéma durant les années 1980, dans des films tels que Les Bronzés première mouture ou Le Père Noël est une ordure. Même si la satire dont cet humour témoigne relève à l'origine d'un désir post-soixante-huitard d'épingler le petit-bourgeois, conservateur et égoïste.

Cette débandade se signale aussi bien, aujourd'hui, dans l'économie du désir : dans Le Cactus de Gérard Bitton et Michel Munz, deux de ces prototypes, un hypocondriaque chronique et son meilleur ami, échouent en Inde où ils rencontrent sur place un autre Français, sorte de gourou tout droit sorti des années 1970, qui est à la tête d'une communauté de fumeurs de haschisch pratiquant une sexualité libérée. Incarné par un acteur comique d'une génération précédente (Pierre Richard), ce personnage, aussi ridicule soit-il, représente précisément tout ce que nos deux héros contemporains, pathétiquement fermés au monde et à ses plaisirs, ont cessé d'être.

LA "FRANCITUDE"

Même la jouissance vaniteuse du quant à soi n'est plus un recours pour ce nouveau type de personnage. La "francitude" qu'il incarne est celle d'une honte diffuse, d'un dégoût de soi qui trahit la conscience avouée d'une perte définitive de sa propre dignité. Cette rumination collective, qui réunit de part et d'autre de l'écran les personnages et les spectateurs, cette conscience étriquée et malheureuse qui se résout en rire grimaçant, sont décidément trop aiguës pour ne pas être le signe d'un malaise plus général. Quelque chose qui, au-delà de la comédie, au-delà même du cinéma, serait à l'oeuvre dans la société française elle-même, voire plus largement en Europe, et qu'on pourrait définir comme le symptôme d'un profond trouble d'identité.

Faut-il le rapporter à la mémoire longue de l'histoire du XXe siècle, aux stigmates de la barbarie concentrationnaire, à l'héritage empoisonné du colonialisme, à cette crise des valeurs sur lesquelles l'Occident a fondé une suprématie qu'il lui faut aujourd'hui expier ? Faut-il, plus simplement, le rapporter aux avanies récentes de la politique nationale, depuis la fin de règne amèrement désenchantée du socialisme au pouvoir jusqu'à l'élection présidentielle du 21 avril 2002, qui a cristallisé le délabrement des enjeux politiques et la peur panique d'une société confrontée à la soudaine démonétisation de sa propre image ?

La tendance expiatoire qui s'ensuit est en tout cas mise en oeuvre, de manière plus flagrante encore, par le principal bailleur de fonds du cinéma français qu'est la télévision, où l'essor de la télé-réalité et de certains types de divertissement (exemplairement "Le Maillon faible") semble construit sur le principe de l'enregistrement pur et trivial du moment exact où un individu abandonne sa dignité. Cette inquiétante célébration de l'humiliation et de la dégradation comme critère de valorisation individuelle et sociale prône de manière plus ou moins insidieuse l'assujettissement de l'individu à une idéologie qui en réalité le nie.

Cette idéologie, qui n'est autre que celle d'une lutte de moins en moins masquée et de plus en plus sauvage pour le profit, contribue à ce que le philosophe Bernard Stiegler a récemment qualifié de liquidation du narcissisme, facteur nouveau d'une perte d'individuation dans les sociétés occidentales. On jouit littéralement de ne pas s'aimer soi-même. Une certaine tendance du cinéma français en est aujourd'hui comme l'ombre portée.


Jacques Mandelbaum et Jean-François Rauger


Article paru dans l'édition du 29.04.06
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Messagepar tupeutla » 02 Mai 2006, 18:45

COMME SOLEIL VERT ! :wink:



Le Livre de Jérémie de et avec Asia Argento.

Image

Amateurs de films tièdes et de la fadasse Audrey Tautou, passez votre chemin !

C'est filmé par Asia et pas par hasard. C'est purulent de partout. Et c'est une biographie !
Pour ceux qui désirent en savoir plus sur ce film, une visite s'impose ici :
http://www.plume-noire.com/cinema/criti ... livre.html

Je lui donne Image½ (1)


_______________________

(1) Les "Image" signifient ici les Tupeutla d'Or :
Image = bon;
Image = excellent;
Image = chef d'œuvre;
Image = presque mauvais;
Image = nul à chier.
le rire est à l'homme ce que la bière est à la pression. 8)

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Messagepar soleilvert » 03 Mai 2006, 00:50

Puisque tu sembles bien disposé, ne t'arrêtes pas en si bon chemin sur le même thême de l'enfance déglinguée avec le très bon:


Nobody Knows

qui passe en ce moment sur C+ (c'est un film de bridés que tu affectionnes, mais tu verras celui là est vachement bien. Et y'a même pas de bourges plein de fric qui ont quand même plein de problèmes débiles. :mrgreen: )



Image





Et de mémoire ce samedi toujours sur un des C+ je vais enfin pouvoir découvrir:


Mystérious skin


Image
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Messagepar soleilvert » 03 Mai 2006, 00:56

French connection I et II


Image



Des films pour nous, les hommes.


C'est du brut, du carré, du sur-mesure pour Hackman dont émane sueur, pilosité, nervosité, integrité. Du Serpico avant l'heure et c'est rudement bien filmé et mis en scène. Le II est finalement aussi bien que le I. La french team tient la route devant ce yankee qui en a rien à peter des frogs et de leur bouillabaisse à la dope.



En ce moment sur auteur.
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Messagepar RNO » 03 Mai 2006, 14:00

The French Connection (1971) - William Friedkin
Serpico (1973) - Sidney Lumet
French Connection II (1975) - John Frankenheimer

Je ne suis pas vraiment sur que l'on puisse parler de Serpico avant l'heure, mais je te rejoinds pour encourager tout le monde a voir ces deux films, vous ne serez pas decus !

Si vous voulez vous faire Serpico dans la foulee, c'est pas un probleme pour moi, mais c'est quand meme radicalement different, donc ne vous attendez pas a voir un film du meme genre.
par contre, Al Pacino y est magnifique, et l'on se prend a regretter amerement cette epoque ou il jouait autre chose que "Al Pacino".

Enfin, foncez, c'est de la bonne ! ;)
RN :mrgreen:
Managing Director EDV - Permanent Representative EDV
Le cerveau, comme le parachute, doit être ouvert pour fonctionner. -- Pierre Daninos

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Messagepar kerlouan » 03 Mai 2006, 14:35

Ca me fait penser que je dois acheter ces deux films.

Le denrier mois j'ai eu une envie de mafia et ai acheté:
Les affranchis, Casino, Le parrain.
Avec Serpico et French connection, cela sera dans la continuité.

Pour le Parrain, j'ai été étonné de voir aussi peu Marlon Brando: n'ayant jamais vu le film, je pensais qu'il était beaucoup plus présent vu qu'il est l'icône du film.
Reivilo, reviens poster plus souvent ;-)


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