Notez les derniers films vus..Ze topic qui remonte toujours3

[AnagraM]

Yep, c'est vrai.
Comme j'ai dit, ça faisait longtemps que je l'avais pas vu, donc j'avais un peu oublié ce côté. Et j'ai vraiment beaucoup aimé cette version.

[BaNDiNi]

The Devil Ride Out/Les Vierges de Satan : Efficace production Hammer inspiré par Aleister Crowley et signé Terence Fisher avec d'excellents acteurs, Christopher Lee en tête (qui joue le gentil de l'histoire !). Quelques incrustations désastreuses font un peu mal mais le récit diabolique (manichéen, confrontation entre le bien et le mal) fonctionne bien.



Le discours d'un roi : heureusement qu'ils ont prit soin de mettre en forme ce récit pas super palpitant (un mec qui va chez un orthophoniste qui a trop regardé le cercle des poètes disparus, quand même !). C'est vraiment remarquablement filmé.

[Zappy Bibicy]

Ben moi j'ai vu Captain America ces jours-ci: assez sobre pour un film de super héros enfin on passera pas la nuit la dessus non-plus et le vilain est un peu loupé. Le teaser à la fin encourage. La brunette est très jolie je trouve.

[AnagraM]

tiens, en parlant de super héros, iron man, ça vaut la peine?

[BangoO]

Le 1er oui, le 2eme bof.

[Cobrasse]

tiens, en parlant de super héros, iron man, ça vaut la peine?

Même pas le premier pour moi .

C'est grossier, plein de cliché, prévisible ... Exagéré ... Vraiment non !

[Zappy Bibicy]

Source Code: bien le thème est intéressant (en dehors de l'inévitable emballage pseudo technique brise burnes) mais bon on en fait une romance avec une Michelle machintruc (bonjour miss Genarro) pénible dans ses gimmicks «je suis belle et tellement gentille» pas aidée par le rabâchage induit par le scénar. Plus l'habituel couplet sur la culpabilité, et 2 ou 3 trucs qui en font un bloque boussetaire amérindien.

Ah ils t'auraient filé ça à Alain Cavalier (hello boy) ou à Kieslowski ça aurait une de ces gueules.

[Babook]

Ou Brendan Fraser à la place de Jake Glyvlenglaglle ou je sais plus quoi.

[Cobrasse]

Bonsoir,

Essential Killing

Déjà je pense me fâcher avec Soleilvert .

Pour le film fût nul de chez nul, enfin non, plutôt pourris, ou bien naze ... Enfin bref c'est lent, dénué de sens bien souvent, le peu de dialogue dans ce film doit à peine tenir un feuille recto/verso, bref l'emmerde totale, une fin risible ...

Je comprends même pas les critiques de films sur ce coup, je l'avais pris suite à ça, très grosse erreur, mais matez-le vous allez rigoler un bon coup, car ce fût le cas pour moi et ma compagne .

[soleilvert]

Polisse

Malgré quelques scènes et effets trop appuyés Maïwenn Le Besco continue de se montrer très efficace pour ce "cinéma vérité que Pialat aurait peut-être considéré comme un prolongement digne de son oeuvre coup de poing.

A l'opposé de ce cinéma français qui réveille un peu nos mentalités franchouillardes voilà trois bouses maladroites qui ressemblent à des films de fin d'année d'élèves de la FEMIS:

Pourquoi tu pleures?
Et soudain tout le monde me manque
Qui a envie d'être aimé?

Des films sur la famille, la crise existentielle, l'amour, la mort... Des sujets traités de la pire des façons. Pas vraiment des comédies, pas vraiment des films d'auteurs, un peu de tout ça à la fois pour perpétuer cette image tellement nocive d'un cinéma français nombriliste et chiant.

[BangoO]

Le chat du Rabbin, vraiment tres beau, quelques tres bonnes sorties du chat, mais l'histoire est totalement decousue, avec un gros coup de mou au milieu du film. Decu...

[Ghost]

All The Good Things : excellent duo Golsing (Mr Drive ) / Dunst. Histoire basée sur des faits réels, assez prenante mais qui perd de son intérêt lors du dernier 1/3.

La Cuisine au Beurre (VZ (*) ) : tiens, l'avions pas encore vu c'te vieillerie avec Fernandel et Bourvil. C'est léger, certes, mais ça fait toujours plaisir de voir ces tronches à l'écran.

(*) version Zappy

[soleilvert]

Les patriotes



Réfractaire à la plupart des films d'espionnage je me suis régalé avec ce très bon film d'Eric Rochant. Yvan Attal équilibre bien par son jeu minimaliste cette charge contre certaines pratiques du Mossad. Moins spectaculaire que Munich de Spielberg j'imagine que ce dernier a du apprécier ces patriotes, s'en inspirer et reprendre d'ailleurs Attal dans son casting. Les patriotes dépasse de loin le format actuel du film français sérieux, politique. Pas chiant grâce à une écriture et un montage bien menés, des acteurs qui n'en font pas trop. A voir.

[RNO]

La Main du Diable : Excellent et surprenant film fantastique français (et oublié) produit à la "grande époque" de l'Occupation allemande par la Continental Films de Goebbels. On retrouve d'ailleurs l'Allemagne dans la forme avec cette forte influence de son expressionnisme effrayant des années 20, surtout dans la dernière partie avec ces pièces déformées par des ombres immenses. Excellent et surprenant, mais je l'ai déjà dit.

On invitera volontiers à regarder l'excellent supplément La Continental, le cinéma français dans la main du diable ? (46min, HD). Parce que ce sera l'occasion de tordre certaines idées reçues (pour ne pas dire « à la con ») sur les films produits par cette firme allemande voulue par Goebbels dans le but de démarrer un travail de lobotomie sur la population française avec des films nuls et légers. La plus grande erreur de Goebbels aura été de nommer Alfred Greven à ce poste, francophile et homme de goût qui souhaitait surtout produire des bons films (malgré un directeur financier qui était, lui, une vraie chemise brune). C'est pourquoi, il se fit taper sur les doigts pour avoir produit Au bonheur des dames de Cayatte d'après Zola (qui, rappelons-le, était un auteur haï par le Reich) et surtout des films bien subversifs en creux comme Le Corbeau ou L'assassin habite au 21 de Clouzot. Ce documentaire sera aussi l'occasion de rappeler à certains jeunes cons - il n'y a pas d'autres mots -, choqués que certains artistes aient pu participer à des tournages de cinéma au cours de cette sombre époque, qu'il fallait bien que la vie continue malgré l'occupant et les privations, que ces tournages n'avaient rien d'évident dans des plateaux glacés l'hiver. Le tournage de La Main du diable est évoqué également avec une analyse intéressante du prologue où les protagonistes parlent sans cesse de nourriture (soit la préoccupation numéro une à l'époque) et que les rues quasi désertes de Paris occupée pour les extérieurs jours contribuaient à renforcer l'étrangeté de ce bien beau film.

Quel bonheur que ce film de 1942.
Merci BaNDiNi de me l'avoir remis en memoire.
J'adore la facon de jouer de cette epoque, il y a un cachet particulier qui a disparu; c'est tres date et en meme temps tellement plaisant.

[Camui]

X-Men. (les 1+2+3+0)
Bon, trilogie revue... pour finir par découvrir le début.
Baffe magistrale du dernier, donc, qui narre les prémices.
Mise en place du climax remarquable, contexte itou. Casting très réussi.