Notez les derniers films vus..Ze topic qui remonte toujours3

[MatiouzTone]

Bon, faut que je vois ça.

[BangoO]

Captain america : dans la moyenne des films de super Hero. Ce n'est pas Dark Knight mais ce n'est pas Thor non plus. L'humour n'est pas trop lourdingue et les effets spéciaux ne font pas dans la surenchère. Le personnage est sympathique. La fin par contre manque de rythme et est un peu expédiée, j'ai failli m'endormir.

Meme impression pour moi, la fin est un peu ratee, dommage...

[Camui]

J'ai aimé Sucker Punch.

VIENDEZ VOUS BATTRE SUR LE PARKING DE CINEFIEN §

[BaNDiNi]

Cabeza de Vaca : L'errance durant 8 années du conquistador Cabeza de Vaca qui traversa à pieds un continent alors inconnu. Au milieu des rencontres de l'ethnie de cette future Amérique, le cinéaste n'offre pas vraiment de cohérence narrative. Il préfère condenser avec la contemplation des lieux, la fascination des rites, le fantastique du chamanisme, l'étrange mutation d'un espagnole aventurier venu conquérir l'Eldorado… Une oeuvre forte, presque documentaire, touchée par des moments saisissants qui font aimer le cinéma. On est très proche d'Aguirre la colère de Dieu, du Nouveau Monde de Malick et d'un conte bizarre à la Jodorowski.

Le DVD propose hélas une image pas terrible mais c'est une chance de pouvoir enfin découvrir ce film (de 91, inédit en France).

[Ghost]

The Artist (2011) - Michel Hazanavicius - http://www.warnerbros.fr/the-artist

Un duo d'acteurs parfaitement castes pour des roles sur mesure au service d'une histoire intelligemment racontee meme si le propos est de temps en temps un peu trop appuye. La realisation, la musique et la qualite du jeu des different protagonistes permettent de faire passer l'emotion et les sentiments, ce qui n'est pas chose aisee (cf Drive plus haut, completement rate sur ce point)
cet age muet dui cinema est tres fidelement retranscrit, on retrouve chez Dujardin un melange des acteurs de l'epoque, dont le seul nom sur l'affiche assurait le succes, ces personnages plus grand que leurs roles dont on se delectait de decouvrir la nouvelle aventure.
Une pleiade de bonnne gueule du cinema americain viennent renforcer le cote veridique en apportant le cachet hollywoodien que le decor et les situations ont deja bien poses.


C'est avec un sourire qui persiste que je vous conseille d'aller voir ce film, en VO (anglais) ou en VF, au choix.

Vu lors de mon citytrip parisien au MK2 Seine. Tu résumes bien ma pensée sauf qu'à la fin... J'déconne.
Le seul reproche que je ferais, c'est que je trouve que le 3ème quart du film est un peu trop tiré en longueur.

[soleilvert]

A noter que les MK2 sont tous passés au numérique depuis septembre dernier. Quand j'y suis allé voir Mélancholia l'image et le son étaient excellents. Polisse de prévu. The artist ne me dit rien du tout et Jean Dujardin encore moins.

[Ghost]

The artist ne me dit rien du tout et Jean Dujardin encore moins.

T'inquiètes, on est loin des Un Gars, une Fille et Brice de Nice .

[Zappy Bibicy]

Ben moi j'ai vu Cars 2 hein. On a le sentiment d'être sur une pente comment dire, savonneuse. Etrange que ce soit les moins bons Pixar qui sont séquellisés en ce moment...

[Babook]

Cars a marché pas mal aux USA, pas trop dans le monde mais les produits dérivés se sont vendus comme jamais. Comme il faut du cash pour faire des films, Cars 2 permet de remplir les caisses pour les années à venir.
Mais je suis d'accord, le film fait un peu mal au coeur venant de gens qui ont fait Toy Story 2 et Wall-E.

[BaNDiNi]

La Main du Diable : Excellent et surprenant film fantastique français (et oublié) produit à la "grande époque" de l'Occupation allemande par la Continental Films de Goebbels. On retrouve d'ailleurs l'Allemagne dans la forme avec cette forte influence de son expressionnisme effrayant des années 20, surtout dans la dernière partie avec ces pièces déformées par des ombres immenses. Excellent et surprenant, mais je l'ai déjà dit.

On invitera volontiers à regarder l'excellent supplément La Continental, le cinéma français dans la main du diable ? (46min, HD). Parce que ce sera l'occasion de tordre certaines idées reçues (pour ne pas dire « à la con ») sur les films produits par cette firme allemande voulue par Goebbels dans le but de démarrer un travail de lobotomie sur la population française avec des films nuls et légers. La plus grande erreur de Goebbels aura été de nommer Alfred Greven à ce poste, francophile et homme de goût qui souhaitait surtout produire des bons films (malgré un directeur financier qui était, lui, une vraie chemise brune). C'est pourquoi, il se fit taper sur les doigts pour avoir produit Au bonheur des dames de Cayatte d'après Zola (qui, rappelons-le, était un auteur haï par le Reich) et surtout des films bien subversifs en creux comme Le Corbeau ou L'assassin habite au 21 de Clouzot. Ce documentaire sera aussi l'occasion de rappeler à certains jeunes cons - il n'y a pas d'autres mots -, choqués que certains artistes aient pu participer à des tournages de cinéma au cours de cette sombre époque, qu'il fallait bien que la vie continue malgré l'occupant et les privations, que ces tournages n'avaient rien d'évident dans des plateaux glacés l'hiver. Le tournage de La Main du diable est évoqué également avec une analyse intéressante du prologue où les protagonistes parlent sans cesse de nourriture (soit la préoccupation numéro une à l'époque) et que les rues quasi désertes de Paris occupée pour les extérieurs jours contribuaient à renforcer l'étrangeté de ce bien beau film.

Extrême Préjudice : Un film mâle, avec un casting de sacrées gueules (Nick Nolte, Powers Boothe, Michael Ironside, Clancy Brown...), orchestré par des amoureux des armes à feu. Walter Hill, scénariste et grand ami de Sam Pekimpah, refait sa Horde Sauvage avec l'aide de John Milius. Sans grande ambition et avec moins d'envergure, faut pas déconner quand même. Mais c'est un film de genre honnête, entre western et polar, avec des couilles et des gros flingues qui tuent dans le bruit, le sang, la poussière du Mexique...

[Ghost]

Je pense qu'avoir vu qu'il y avait un Hangover part deux et aussi le temps qui a passé me l'a rendu moins inoubliable que toi. Ton immensément me surprend autant que ma remarque te surprend, na. Et j'apprécie le côté road mouvie intimiste plus que l'aspect virée de copains disparates (en plus Very Bad Things a les mêmes bases que Very Bad Trip).

Je viens de voir le Part II. Copier/coller du 1er mais toujours aussi déjanté. Jerry beaucoup.

[AnagraM]

Dark City.
Version Director's Cut en BR. Ca faisait un moment que je l'avais pas revu. Beaucoup de petites choses ajoutées par rapport au film version cinéma. Ca ajoute un peu de densité et de contenu.
Le BR est très beau, le film est toujours aussi bien je trouve.
A noter que dans la version DC, c'est Jennifer Connelly qui chante (2 chansons) en live dans le cabaret, alors que la version cinéma, c'était pas sa voix. Moi j'en suis tout . Elle chante pas parfaitement, mais elle a une très belle voix, et j'aime vraiment mieux que la version cinéma qui manquait de personnalité, même si c'était très bien chanté.



vs

[BaNDiNi]

Dark City.
Version Director's Cut en BR. Ca faisait un moment que je l'avais pas revu. Beaucoup de petites choses ajoutées par rapport au film version cinéma. Ca ajoute un peu de densité et de contenu.
Le BR est très beau, le film est toujours aussi bien je trouve.
A noter que dans la version DC, c'est Jennifer Connelly qui chante (2 chansons) en live dans le cabaret, alors que la version cinéma, c'était pas sa voix. Moi j'en suis tout . Elle chante pas parfaitement, mais elle a une très belle voix, et j'aime vraiment mieux que la version cinéma qui manquait de personnalité, même si c'était très bien chanté.



vs

La suppression de la voix off m'avait plus "décontenancé" et au final, je pense qu'elle manque au récit. Mais peut-être que j'étais trop habitué à la version cinéma ?...

[AnagraM]

J'avais même pas remarqué moi.
Je trouve que c'est plus immersif comme ça. On découvre plus de choses au fur et à mesure, c'est moins "américain" à qui il faut tout expliquer.

[BaNDiNi]

Le problème vient peut-être du fait que justement, je connaissais déjà parfaitement l'histoire. Je trouve que la voix (off) de Kiefer Sutherland donne un côté inquiétant au récit (mais annonce trop rapidement la couleur de son rôle) et aussi un côté littéraire, comme une légende qu'on nous raconte...