Thaal a écrit :L'explication est logique, en 24 fps il y a moins d'image ou des images noirs, donc ça laisse plus de temps de réaction au panneau pour passer d'une image à l'autre, minimisant le risque de montre la mauvaise image au mauvais oeil. Avec le motion flow, le projo doit monter en fréquence d'affichage laissant moins de temps pour passer d'une image à l'autre, le timming deviens tendu et la marge d’erreurs inexistante. En plus si il la mauvaise image est flashé pour un oeil juste une / deux fois par seconde, on va pas trop la voir, si elle est répéter genre 10 fois avec le motion flow, la persistance rétinienne va rendre ce fantôme plus évident.
C'est surtout que le problème vient ... des panneaux eux-même. Le changement d'état des panneaux doit-être trop long (leur temps de réaction est trop important). Sur un DLP , c'est un miroir ... qui est ouvert ou pas , il n'y a donc pas de changement d'état au niveau des cristaux liquides (les DILA et SXRD sont un compromis entre le LCD et le DLP). Bref , c'est comme sur les écrans d'ordinateur et/ou TV LCD/LED. Ceux qui sont à 2ms ont moins de problèmes de persistance d'image que ceux qui sont à 5ms.
La preuve étant que des lunettes 3D type XPAND/VOLFONI (type universel) n'ont aucun ghosting dans un vrai Cinéma (donc en 3D active qui utilise du TriDLP en triple flash (144Hz)) et qui affichent un ghosting sur un VP JVC ou SONY ou encore Epson.
Par contre je suis OK pour l'explication du Motion flow. Lorsqu'il est activé , le VP affiche une image "intermediaire" en plus , ce qui n'est pas le cas sans. De ce fait , le changement d'état des cristaux liquides est plus compliqué , ce qui provoque un changement d'état en plus. D'où la persistance sur les cristaux qui est plus marqué , et qui devient donc visible pour l'utilisateur final.
Raven