charlesbis a écrit :De plus, une frange "non négligeable" de la clientèle est dores et déjà demandeuse d'hémoglobine, de corps projetés, de décibels et d'infra-basses : la spirale est amorcée.
C'est bien ce qui m'inquiète: le public perd progressivement ce qui construit l'art, la mise à distance dans la sublimation, pour ne s'intéresser qu'à un visuel qui ne laisse aucune élaboration possible en arrière-plan.
On rentre dans l'anatomique, et on sort de l'artistique.
(Même principe qu'entre un film X et un film érotique.)
Gambit Von Trapp.