bernardmail a écrit :
est-ce que ça veut dire qu'en choisissant un volume de charge, une longueur d'event et une surface d'event on arrive à influencer l'allure de la courbe dans le grave de l'enceinte, le déphasage de l'event (et du haut-praleur ?) de différentes façon ?
Ce que je ne comprends pas , c'est qu'il y a 4 catégories (Bessel, Butterworth etc ..et qu'en choisisant l'event et la charge on tombe dans l'une ou l'autre. Ce n'est pas progressif ? tu vois ce que je veux dire?
A+
Si, c'est progressif, mais la méthode évite de tâtonner, et de tomber presque à coup sur le fameux son de tonneau !
C'est exactement la même chose que pour les filtres passifs (et pour cause) : rien ne t'interdit de jongler avec la valeur des composants, sans essayer de suivre une courbe de réponse de référence. Dans le cas des filtres d'enceinte, cela permet parfois de corriger les défauts des HP
En revanche, l'intérêt de ces optimisations (mathématiques des fonctions de transfert des filtres) type Bessel, Butterworth etc, est que les résultats en réponse et en phase sont connus à l'avance.
Comme je l'avais écrit, chacun d'entre eux vise à optimiser un paramètre au détriment des autres : réponse la plus plate dans la bande utile, ou rotation de phase minimum, ou pente d'atténuation la plus forte & réponse la plus étendue dans le bas mais réponse en phase déplorable et ondulations dans la bande utile.
On ne peut pas avoir le beurre, l'argent du beurre et la crémière en prime
A+
Bertrand.